D'aide-monteur à collaborateur clé
Tom Van der Haegen est une valeur sûre chez L-Door. Depuis 13 ans, il donne chaque jour le meilleur de lui-même. La meilleure preuve qu’il est possible de grimper les échelons au sein d’une PME considérée comme une référence dans son secteur…
Comment as-tu découvert L-Door ?
J’ai pour la première fois entendu parler de L-Door peu après la fin de mes études au PTI de Ninove, dans l’orientation électricité. C’était par l’intermédiaire d’anciens camarades de classe : deux d’entre eux travaillaient comme monteurs pour ce fabricant de portes sectionnelles de Liedekerke. La fonction me tentait et j’ai commencé comme aide-monteur. C’était il y a 13 ans. En compagnie du monteur, je réalisais surtout des réparations et le montage électrique des portes sectionnelles. Une tâche qui correspondait parfaitement à l’orientation d’études que j’avais suivie. À l’école, on acquiert une base solide pour sa future carrière professionnelle, mais ce n’est que sur le chantier qu’on découvre vraiment la pratique du métier.
Y a-t-il à ton avis des possibilités d’évolution au sein de L-Door ?
J’ai exercé la fonction d’aide-monteur pendant environ deux ans. Chaque année, encore aujourd’hui, on me demande pendant l’entretien d’évaluation quelles sont mes ambitions. En 2006, une nouvelle entreprise a été créée au sein de L-Door, spécifiquement pour les réparations et la maintenance. J’ai suivi le mouvement et je suis devenu technicien de maintenance.
Chaque année, encore aujourd’hui, on me demande pendant l’entretien d’évaluation quelles sont mes ambitions.
En quoi consistait cette fonction, précisément ?
En tant que technicien de maintenance, j’entretenais et je réparais des portes existantes. Mais la fonction consiste également à venir en aide aux collègues monteurs dans le cadre de la finalisation des projets. Par exemple pour l’installation des commandes, le raccordement électrique de la porte, le placement de feux de signalisation, … Bien évidemment, il y a aussi d’autres exigences. Il faut par exemple être en possession d’un certificat VCA, puis d’un brevet pour conduire un chariot élévateur et manipuler un élévateur à pantographe. En 2013, L-Door m’a offert une nouvelle opportunité : je suis désormais membre de la « cellule technico-commerciale ». En cette qualité, je contrôle des chantiers, tant concernant la qualité des produits placés par nos soins qu’à l’égard des aspects relatifs à la sécurité de nos collaborateurs sur le chantier. J’assiste aussi aux réunions de chantier avec l’entrepreneur, l’architecte et le maître d’ouvrage. Et toujours, je m’efforce de proposer au client la solution qui répond le mieux à ses souhaits.
À quoi ressemble pour toi une journée de travail typique ?
Comme mon rayon d’action s’étend surtout en Belgique francophone, je suis confronté au problème quotidien des embarras de circulation. Pour éviter cela, je prends la route vers 6 heures du matin. De mon véhicule, j’appelle les clients en mains libres pour fixer les rendez-vous pour la prise des mesures des nouvelles portes sectionnelles. Et pour le reste, j’alterne les contrôles et réunions de chantier avec les prises de mesures proprement dites.
Qu’est-ce qui te plaît dans cette fonction ?
Grâce à mon travail, je suis beaucoup sur la route et j’ai déjà sillonné tout le pays. Chaque journée est différente et je fais la connaissance de plein de gens. Le fait d’offrir, après la vente, une valeur ajoutée concrète à nos clients me procure une grande satisfaction. En me mettant à la place du client, en m’imaginant dans sa situation, je parviens toujours à proposer la meilleure solution. Et puis, je peux toujours, au sein même de l’entreprise, profiter de l’expérience de collègues très doués. C’est l’un des aspects qui font que je me sens bien chez L-Door. L-Door est une entreprise qui reste à la pointe de l’innovation, et cela inspire confiance pour l’avenir.
L-Door offre aussi aux jeunes diplômés l’opportunité de se forger de l’expérience sur le terrain.
